Objectif : Montrer l’intérêt de l’hystérosonographie dans l’exploration de l’infertilité féminine er
Méthodologie : Il s’agissait d’une étude prospective, descriptive et longitudinale effectuée du 1 février 2017 au 31 janvier 2019 soit une durée de 2 ans. Elle s’est déroulée conjointement au CHU de Cocody et dans une structure sanitaire privée du district d’Abidjan. Ont été inclues les patientes ayant consulté pour désir de maternité chez qui l’indication d’assistance médicale à la procréation a été retenue.
Résultat : Le taux de réalisation de l’hystérosonographie était de 39,5 %. La majorité des patientes avait un âge compris entre 35 et 40 ans (52,1%). Elles étaient pauci gestes (33,1%) et nullipares (75,2%). Elles avaient un niveau d’étude primaire et analphabètes dans 36,3% des cas. Les ménagères, vendeuses et commerçantes étaient majoritaires dans une proportion de 43,8 %. Les antécédents gynécologiques et obstétricaux étaient essentiellement représentés par les IVG (42,1%) et les fibromes avec ou sans myomectomie (33,1%). Dans 81,8% des cas l’hystérosonographie était normale. Elle était pathologique dans 18,2% des cas. La principale anomalie trouvée était la synéchie utérine (45,5 %)
Conclusion : L’hystérosonographie est un apport capital dans l’exploration de l’infertilité féminine et permet de faire une sélection des patientes éligibles à l’hystéroscopie.
Mots clés : Hystérosongraphie- Infertilité- Exploration
Placenta prævia au CHU de la mère et de l’enfant de N’djamena
Introduction : Le placenta prævia est une anomalie d'insertion du placenta en partie ou en totalité sur le segment inférieur...
Read more



